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Panhard Dyna X : la berline bien commode
Dans l’esprit populaire, la relance de l’automobile française s’est faite grâce à deux populaires, la Renault 4CV et la Citroën 2CV. On oublie pourtant l’importance de la Panhard Dyna X qui, elle aussi, connut son heure de gloire malgré les moyens plus limités de son constructeur. Avec son style si particulier et étudiée par l’ingénieur Albert Grégoire, elle avait pourtant de grandes qualités, mais peut-être était-elle trop baroque et, comme souvent par la suite chez Panhard, trop pointue ? Retour sur cette étonnante petite berline française.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 23/04/2020
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Lancia Flavia : innovante et méconnue
Il fut un temps où la marque Lancia comptait encore dans le monde de l’automobile. Aujourd’hui, la marque est cantonnée à son marché local et condamnée à terme (à moins que la fusion FCA/PSA ne change la donne ?), mais dans les années 60, rouler en Lancia était une preuve de classe, de distinction, d’avant-gardisme même. Cette réputation, Lancia la doit beaucoup à son nouveau modèle lancé en 1960 et réalisé par le fameux ingénieur Antonio Fessia.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 22/04/2020
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Chevrolet Corvair : cette « voiture qui tue » !
À la fin des années 1950, les voitures de format compact, notamment importées d’Europe, rencontrent un succès inédit aux États-Unis. Les grands constructeurs nationaux décident de répliquer à l’américaine en lançant chacun leur petit modèle. Chevrolet présente alors son innovante et jolie Corvair. Malgré cela, des négligences quant à la sécurité et, surtout, un livre à l’immense popularité la prenant pour bouc émissaire lui porteront un coup dont elle ne se relèvera pas.
CARJAGER - 21/04/2020
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Seat Marbella : la Panda ibérique
Au début des années 1950, alors qu’une Espagne laborieuse et rurale a furieusement besoin d’être motorisée, est créée la Sociedad Española de Automóviles de Turismo, plus largement connue sous le nom de Seat. Des accords sont conclus avec Fiat pour assembler ses modèles sous licence, rebadgés à l’effigie de la nouvelle marque espagnole. De ces accords naîtra la Seat Panda, qui deviendra par la suite la Marbella.
Aurélien Charle - 17/04/2020
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Peugeot 203 : la berline prudente
Quand on n’a qu’un seul modèle au catalogue, il ne faut pas se louper. Lorsqu’en octobre 1947 Peugeot présente sa première berline d’après-guerre, il est obligatoire de séduire la clientèle sous peine de disparaître rapidement. L’enjeu est donc crucial pour la 203 qui va logiquement jouer la carte du classicisme et de la fiabilité : des caractéristiques qui seront longtemps rattachées à Peugeot. Point de révolution à Sochaux, juste une voiture sérieuse comme un notaire de province, exactement ce qu’il fallait pour redémarrer prudemment.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/04/2020
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Fiat 127 : le best-seller de Turin
Jusqu’à la fin des années 1960, Fiat rechigna assez longtemps à proposer des solutions techniques modernes sur sa gamme. Il fallut toutefois réagir au plus vite pour remplacer des modèles tout à l’arrière devenus obsolètes. Avec la Fiat 127, le constructeur turinois propose une idée moderne de l’automobile populaire. Un retour en force qui lui fera prendre la tête des ventes européennes !
Aurélien Charle - 08/04/2020
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Mercedes 500 GE : les débuts de la démesure !
En ce début des année 90, Mercedes avait décidé de quitter son costard-cravate un peu étriqué pour une tenue plus casual chic : sans tomber dans le survêtement Tachini façon BMW, la marque à l’étoile préférait rester dans une posture un brin bourgeoise, mais plus cool, en glissant lentement vers plus de sportivité. Les 190 E 2.3-16 puis 2.5 avaient montré la voie en fin de décennie précédente, mais c’était sans doute un peu trop voyant pour Mercedes. Au lieu de cela, en 1990, c’était la 500 E qui étrennait un gros V8 sous une robe quasi inchangée pour 320 chevaux sous le capot, tandis qu’AMG préparait en douce une C36 capable de dynamiser la Classe C sans tomber dans l’exubérance de la bavaroise M3. Seule entorse à cette ligne de conduite, l’étonnante 500 GE présentée en mars 1993 qui sonnait le top départ d’une dangereuse dérive vers le bling-bling.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/04/2020
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DeLorean DMC-12 : on t’aime (quand même)
Existe-t-il une automobile dont la destinée fut aussi romanesque que celle de la DeLorean DMC-12 ? Créature aussi fantasque qu’inaboutie, elle a eu le bon goût de mourir jeune — ça favorise l’accès au statut de légende ou d’icône. Aux mornes péripéties de son parcours industriel s’ajoute une épopée cinématographique qui, si elle a permis au grand public de découvrir son existence, occulte néanmoins les multiples motifs qui justifient que l’on s’intéresse à son cas, même si l’on n’est pas un fanatique des aventures de Marty McFly et du docteur Brown. Essayons donc de porter sur celle qui est devenue bien plus qu’une voiture dans l’imaginaire collectif un regard aussi distancié que possible. Car, en dépit d’une conception erratique et d’un parcours plus que torturé, cette auto mérite largement d’être appréciée en tant que telle. Nom de Zeus !
Nicolas Fourny - 07/04/2020
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BMW Série 5 E12 : la philosophie maison
Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, BMW est mal en point et peine à retrouver son faste d’antan. Frôlant de peu la faillite, le constructeur bavarois va finalement reprendre des couleurs dans les années 1960. En lançant, dans un contexte enfin apaisé, la Série 5 E12, la marque allemande va véritablement ancrer cette identité qui fait encore l’âme de ses modèles d’aujourd’hui.
Aurélien Charle - 03/04/2020
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BMW 318iS E30 : pour contrer les GTI
On s’en souvient peu, ou l’on fait mine de ne pas s’en souvenir, mais à une certaine époque, BMW ne disposait d’aucun arsenal pour contrer la déferlante GTI. Sa gamme commençait avec la Série 3 E30, plus bourgeoise que sportive, et il fallait signer un très gros chèque pour s’offrir une M3 qui rentrait plus dans la catégorie des voitures de sport que des GTI proprement dites. Il fallait donc réagir car à Munich, on ne voulait pas laisser trop de place sur le créneau de la sportivité. Sans modèle plus compact en dessous, c’est donc la Série 3 E30 qui allait s’y coller en proposant la 318iS.
03/04/2020
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Seat Panda “Papamobile” : une puce blanche pour Jean-Paul II
Le Pape Jean-Paul II, dont l’élection eut lieu le 18 octobre 1978, fut plus que tous ses prédécesseurs un globe-trotter, sillonnant le monde entier pour rencontrer ses fidèles. C’est sous son pontificat que s’est fait sentir le besoin d’un véhicule spécifique pour permettre au Saint-Père de traverser les foules tout en étant visible de tous et en accordant sa bénédiction. Certes, Paul VI avait inauguré les “papamobiles” avec un Toyota Land Cruiser, mais c’est bien Jean-Paul II qui leur donna l’essor et la visibilité qu’on leur connaît. Toutes sortes de modèles servirent la papauté lors des voyages officiels, mais le plus étonnant reste l’étrange Seat Panda “Papamobile” qui servit au Pape lors de son voyage en Espagne en 1982.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/04/2020
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Flaminio Bertoni : et Citroën devint mythique !
C’est en créant des modèles exceptionnels, devenus des légendes sur roues que la marque au double chevron s’est créée une âme unique. Celle-ci doit énormément à l’immense talent de Flaminio Bertoni qui, pourtant, s’est retrouvé dans le secteur de l’automobile par un concours de circonstances…
Aurélien Charle - 27/03/2020
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Citroën Type C 5HP : popu’ et attachante.
La toute jeune marque aux chevrons vient de frapper fort en lançant sa Type A. Voulant toujours ratisser plus large, Citroën décide alors d’élargir sa gamme vers le bas. Présentée en 1921, la 5HP sera un grand succès et marquera une réelle avancée dans le domaine de la voiture populaire française. Elle sera également la première voiture sortie de Javel à générer un véritable capital sympathie.
26/03/2020
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De Tomaso Mangusta : une histoire d’hommes !
Si l’Argentin Alejandro de Tomaso eut, du milieu des années 70 à la fin des années 90, les yeux plus gros que le ventre, rachetant (entre autres) Maserati, Innocenti, Moto Guzzi, pour former avec sa propre marque De Tomaso un étrange conglomérat nain (et manquant souvent de moyens), ses débuts furent pourtant plus prudents. Après un premier essai, certes peu rentable mais concluant, avec la Vallelunga, de Tomaso franchissait un nouveau palier avec la Mangusta, prélude à la Pantera et avec le soutien de Ford. Une Mangouste certes rare mais non dénuée d’ambition : n’est-ce pas ce petit animal à poil qui est capable de tuer des serpents tels que le Cobra ?
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 25/03/2020
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Mazda 929 Coupé : bizarrerie japonaise
J’apprécie les véhicules japonais des années 80 pour une raison particulière. Cherchant à se faire une place au soleil, ils ont fait quelques produits différents et surprenants au cours de cette décennie. Notamment du côté des coupés « familiaux », un peu délaissés par les Européens (Capri et Manta vieillissantes), au profit des GTI. Les Japonais ont, quant à eux, continué de commercialiser en parallèle ces gammes porteuses d’image, quel que soit le marché. Zoom (zoom zoom) sur l’une des plus bizarres, la Mazda 929 Coupé.
CARJAGER - 25/03/2020
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Citroën Ami Super : l’idée était pourtant bonne…
Lorsque la Citroën Ami 8 remplace l’Ami 6 en 1969, ce concept de voiture moyenne, certes économique mais sous-motorisée, n’a plus vraiment lieu d’être. L’Ami Super vient l’épauler en 1973 en apportant une montée en puissance et en agrément bienvenue. Malgré cela, son positionnement bancal dans la gamme et surtout, un contexte économique chaotique auront raison de cette auto, pourtant pleine de qualités.
Aurélien Charle - 24/03/2020
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Alfa Romeo 75 : désirable sparadrap
Au début des années 80, Alfa Romeo ne se porte pas très bien. Sa gamme est pléthorique, mais fouillie (et difficile à comprendre), les échecs ont été nombreux (et parfois cuisants comme celui de l’Alfa 6). Bien que nationalisée, la marque manque de moyens pour se développer, et tente de faire du neuf avec du vieux. C’est dans ce contexte étrange et alors que la concurrence européenne se modernise à vitesse grand V que va naître la 75, ainsi nommée pour célébrer les 75 ans de la marque. Une voiture ni belle ni moche, ni moderne ni ancienne, mais qui va connaître son petit succès commercial malgré tout grâce à des moteurs typiquement “Alfa”, souvent sportifs et toujours robustes.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 20/03/2020
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Fiat 850 Spider (et Sport Spider) : vedette latine
Fort heureusement, les temps changent un peu (mais lentement) : les Fiat commencent à sortir des limbes, devenant collector aussi pour le profane dans le sillage de la 500. Petit à petit, il faut bien l’admettre : le géant turinois n’a pas fait que des boîtes à savon mal finies, loin de là. Pourtant, les préjugés ont la vie dure et la mémoire est courte : une Fiat Dino (qu’elle soit coupé ou cabriolet), c’était pas de la gnognote ! Une 130 Coupé non plus, et l’on pourrait citer ainsi des dizaines de modèles qu’on préfère oublier sur l’autel d’une Ritmo bizarrement fagotée, d’une Croma un peu trop terne, d’une Panda trop populaire (et pourtant c’est un chef-d’oeuvre, ne vous y trompez pas), voire d’une Uno au châssis chewing-gum, mais non dénuée de qualités. Dans cette nuée de modèles qu’on a préféré – à tort – oublier figure en bonne place la 850 Spider, dérivée de l’étonnant coach 850 et dessinée par Gandini pour Bertone.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 18/03/2020
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Porsche 911 Type 901 : naissance d’un mythe
Il est toujours difficile pour un constructeur de voitures de sport de remplacer son best-seller : la nouvelle voiture séduira-t-elle autant que l’ancienne ? Saura-t-on satisfaire les puristes ? Quelles conséquences si la nouvelle ne rencontre pas son marché ? Or dès le milieu des années 50, la petite entreprise allemande Porsche est dans une situation compliquée : la 356 se vend comme des petits pains, notamment aux État-Unis, mais il faut songer à l’avenir. Les ingénieurs vont donc plancher sur une héritière qui aura la dure tâche de monter en gamme, d’être plus moderne, plus belle et plus désirable, et donc se vendre encore mieux. Avec dans les cartons le projet “901” qui deviendra rapidement 911.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/03/2020
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Peugeot 907 : les ambitions du Lion
Ah la 907… Elle était peut-être sortie de votre mémoire depuis le temps, mais maintenant que vous lisez son nom, nul doute que vous vous rappelez ce concept-car sexy. Pour les plus étourdis, une Peugeot à long capot abritant un moteur V12 et laissant apparaître ses trompettes d’admission. Non, toujours pas ? Alors lisez ce qui suit, et laissez-vous emporter par une supercar française, pour une fois.
Maxime Mouliney - 17/03/2020
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Alfa Romeo 4C : esbrouffe à l’italienne ?
En 2006, Alfa Romeo lançait la phénoménale 8C histoire de rappeler au monde entier le glorieux passé de la marque. En 2013, le trèfle la divisait par deux pour nous offrir la 4C, histoire de faire croire à une relance en fanfare. Comme beaucoup d’alfistes (du moins de coeur) j’ai cru au retour du Biscione que semblait confirmer le lancement de la Giulia deux ans plus tard. Malheureusement, la 4C ne sera qu’un faire-valoir de la politique clairement financière d’un Sergio Marchionne, certes charmeur et roublard, mais qui n’aura jamais su relancer le cuore sportivo de la marque !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/03/2020
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Renault Dauphine : success story à la française
La Renault Dauphine, lancée en 1956, est une voiture charnière : à cheval entre les années 50 et 60, au style certes relativement moderne, mais encore empreint des rondeurs de l’époque précédente, elle semble le trait d’union entre l’après-guerre difficile et spartiate et les sixties un peu folles. Moins biscornue qu’une 4CV, et plus grande aussi, moins carrée qu’une Renault 8, elle a cependant marqué son époque comme le démontre, par exemple, la bande dessinée avec pour porte-étendard Gil Jourdan. Retour sur une petite gloire française qui ira jusqu’à tenter de conquérir l’Amérique.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/03/2020
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Citroën 15-Six : la reine des nationales
Aussi étonnant que cela puisse paraître, entre 1934 et 1948 (date de sortie de la 2CV), Citroën ne disposera quasiment que d’un seul modèle, la Traction. Certes, la Rosalie fera de la résistance jusqu’en 1938, mais le coeur du business de Javel reposait bel et bien sur la nouvelle “traction avant” qu’il fallut décliner aussi bien en 7CV qu’en 11, en légère comme en familliale et bien entendu en un haut de gamme qu’on envisagea d’abord en V8 avant de revenir à des considérations plus raisonnables sous l’égide du nouveau propriétaire, Michelin : la 15-Six, avec son 6 cylindres en ligne, apparaissait en 1938 pour durer jusqu’en 1955, date de lancement de la relève tant attendue, la DS.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 28/02/2020
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La Porsche 911 Carrera 3.2 Anniversary de Grégory
Né en 1972, Grégory a été marqué comme beaucoup de sa génération par la Porsche 911 Type G, icône de son époque. Il lui faudra pourtant patienter 44 ans avant de s’offrir cette part de son enfance. Un ami, déjà chauve, passionné comme lui de voitures anciennes, l’informe avoir dénicher une superbe 911 Carrera 3.2 Anniversary.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 28/02/2020
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Jeep Comanche (MJ) : le pick-up façon Cherokee
On connaît bien en France le Jeep Cherokee XJ, importée par Renault dans nos contrées, sans soupçonner, à moins d’avoir vécu quelques années aux États-Unis, qu’il en existait une version Pick-up dénommée Comanche, référence à la nation indienne Comanche. Normal puisque cette dernière fut réservée aux États-Unis, un marché friand de pick-ups bien plus que la France de cette époque (la passion pour ce type de carrosserie n’est que récente chez nous). Un peu plus d’un an après le lancement du Cherokee sous la houlette de Renault, et vu son énorme succès commercial, le Comanche faisait son apparition en 1985.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 28/02/2020
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Ashley : des kits pour l'Austin Healey Sprite et MG Midget
Fruits de la jalousie de MG pour l’Austin Healey Sprite, dite Frogeye, la MG Midget et sa sœur Austin Healey Sprite MkII sont joliment dessinées. Mais pour vous qui voulez sortir du lot, il existe une alternative, grâce à l’adaptation d’un kit Ashley.
Maxime Mouliney - 25/02/2020
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Alpine A110 : celle qui n’aurait jamais dû naître. Entretien avec Bernard Ollivier
Décembre 2017 : ça y est, j’y suis. Fraîchement débarqué de l’avion, je m’apprête à rejoindre le château La Coste et à enfin prendre le volant de la toute nouvelle Alpine A110, parmi les happy few de ce lancement presse. C’est là que je croise pour la première fois furtivement Bernard Ollivier, directeur général des automobiles Alpine. Je ressors bluffé de ces essais. Deux ans et quelques mois plus tard, l’occasion se présente : interroger Bernard sur cette folle aventure que fut le relancement d’Alpine. L’homme est charmant, passionné, et regorge d’anecdotes pour satisfaire ma passion des petites histoires dans la grande Histoire.
PAUL CLEMENT-COLLIN - 25/02/2020
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Holden : une marque historique disparaît à nouveau de la galaxie GM
On savait Holden en sursis depuis l’arrêt de la fabrication de véhicules spécifiques tels les Ute, Commodore et autres Statesman ou Caprice en 2017, mais la marque continuait à survivre en rebadgeant des Chevrolet ou des Opel sous son propre blason, conservant un réseau de distribution non négligeable en Australie. Le 17 février 2020, General Motors a confirmé les soupçons en affirmant l’arrêt définitif de la marque pour 2021, laissant le pays-continent orphelin de toute marque automobile propre. C’est l’occasion de revenir sur l’histoire d’une marque singulière qui rejoindra bientôt, au panthéon des blasons tués par GM, Saab, Hummer, Saturn, Oldsmobile et quelques autres encore.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/02/2020
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Ferrari 365 GTC/4 : grand tourisme de transition
Si Ferrari est une marque bien connue des amateurs, des collectionneurs et même du grand public, il existe pourtant des modèles encore peu connus, mal aimés et pourtant tout aussi intéressants. La 365 GTC/4 fait partie de ces modèles : produite pendant seulement deux années, à une époque où le style Ferrari se cherchait encore et sans doute moins mise en avant par son caractère de GT, la GTC/4 n’en est pas moins très intéressante, sorte de GTB/4 à 4 places plus confortable et plus civilisée. Retour sur cette étrange voiture de transition qui céda rapidement sa place à l’anguleuse 365 GT4.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 19/02/2020
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La Ferrari F40 de Blue Turtle
La F40, dernière Ferrari lancée du vivant d’Enzo Ferrari, faisait passer un nouveau cap à la marque après une déjà réussie 288 GTO. Entièrement dédiée à la performance, elle aura marqué toute une génération déjà conquise par la Testarossa. C’est le cas de notre propriétaire du mois, passionné de Formule 1 et de Ferrari, au point de soutenir la Scuderia même dans les années difficiles.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 19/02/2020
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Acheter une F1 pour épater les copains
Propulsée par ses 1 500 ch, la Bugatti Chiron se présente actuellement comme l’automobile la plus rapide au monde. En revanche, son comportement routier s’apparente à celui d’un char d’assaut comparé au prototype Porsche 919, détenteur des records du tour au Nürburgring et à Spa-Francorchamps. Alors, qui voudra prétendre rouler dans la voiture la plus efficace devra se tourner vers une machine de course. Et comme la Porsche n’est pas à vendre, c’est une Formule 1 qu’il faudra dénicher. Est-possible ? À quel prix ?
Julien Hergault - 18/02/2020
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Alfa Romeo 156 : l’effet de style
Sans avoir démérité au début des années 90, la gamme Alfa Romeo manquait de sex-appeal et peinait à convaincre les Alfistes purs et durs du passage à la traction et de l’intégration au groupe Fiat. D’une certaine façon, ces aficionados refusaient le changement tout en considérant que la firme milanaise avait vendu son âme en 1986. C’était oublier un peu vite les errements du Biscione avant de passer sous la coupe turinoise mais, que voulez-vous, la mémoire joue parfois des tours. Aussi fallait-il regagner le cœur d’une partie des puristes avec une nouvelle voiture tout en conservant les acquis de la fusion. Grâce à un dessin subtil et à l’amélioration de la base technique, l’Alfa Romeo 156 allait enfin séduire largement et se poser en concurrente crédible aux berlines allemandes.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 11/02/2020
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