En 1996, le constructeur malaisien Proton faisait une excellente affaire en rachetant auprès de Romano Artioli le constructeur de voitures de sport Lotus, en manque de financement. Dans l’escarcelle, Proton trouvait deux perles : le bureau d’étude et la petite sportive Lotus Elise qui deviendra un best-seller. A cette époque, Proton était devenu le premier constructeur malaisien, devant Perodua. Dix années plus tard, il lançait la Satria Neo, puis en 2008, sa déclinaison sportive R3, avec l’aide de Lotus. En 2010, pour fêter ses 25 ans, Proton présentait une série très limitée développée avec Lotus, la Satria Neo R3 Lotus Racing.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 08/10/2018