undefined
Mercedes-Benz 220 S “Ponton” Cabriolet : tel fils, tel père
Si l’on est le père d’un créateur de start-up en série dans le secteur de l’automobile de collection, on a forcément de l’auto dans son ADN. Ce n’est pas la peine de résister. « Papa, tu sais que cette voiture est pour toi. C’est ton destin. » Et ainsi a commencé une authentique histoire d’amour, fondée sur cet incontournable constat : “nous sommes faits l’un pour l’autre ». C’est ainsi que notre ami Serge s’est retrouvé propriétaire d’un cabriolet Mercedes-Benz 220 S “Ponton” de 1959, et qu’il a rencontré la voiture de ses rêves.
Daniel Brooks - 05/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes SL (R107) : le demi-siècle d’une légende
Le mois d’avril 1971 constitue un important jalon dans l’histoire de la Daimler-Benz. En effet, c’est à ce moment-là que la firme de Stuttgart présenta officiellement le roadster destiné à prendre la suite de la série dite « Pagode », dont le design avait été unanimement apprécié, et de perpétuer une histoire remontant déjà à deux décennies — celle des SL, ou Sport Leicht, c’est-à-dire « sportive légère ». À la vérité, le cabriolet R107 n’était ni sportif, ni léger mais, après des débuts quelque peu difficiles, dus notamment à une esthétique moins gracile que celle de son prédécesseur, sa popularité alla croissant tout au long des années 70 et 80, jusqu’à en faire le roadster de luxe le plus vendu au monde et l’une des Mercedes à la carrière la plus longue. Les lignes qui suivent invitent à un retour circonstancié et amoureux sur dix-huit ans de succès…
Nicolas Fourny - 05/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes 190 E 2.3-16 et 2.5-16: en attendant AMG !
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai été marqué par la Mercedes 190 E. Elle me paraissait tellement moderne à l’époque par rapport à la production nationale. Et puis c’était la première « petite » Mercedes, rendant cette marque potentiellement accessible. Enfin, surtout, elle eut des déclinaisons sportives qui m’impressionnèrent : la 2.3-16 en 1984 et la 2.5-16 en 1988.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 04/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes Classe S W140 : pachyderme de luxe !
Lorsqu’en 1991 fut présentée la nouvelle Mercedes Classe S (nom de code W140) au Salon de Genève, je fus surpris par son allure pachydermique qui tranchait nettement avec sa devancière, l’élégante et élancée Classe S W126. D’abord horrifié, j’ai fini par m’habituer à sa silhouette de cachalot, tout comme de nombreux clients qui firent de cette voiture un succès malgré un look a priori ingrat.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes-AMG C 63 (W204) : tout, terriblement
Un jour, il y a bien longtemps de cela, l’un de mes professeurs m’a demandé si j’aurais préféré vivre un an comme un lion ou cent ans comme un mouton. C’est une question que l’on pourrait légitimement se poser en prenant le volant d’une C 63. Certains disent (some say…) que cette voiture n’a qu’un seul but : tuer son conducteur — ce à quoi il est possible de rétorquer qu’il existe de bien pires façons de mourir.
Nicolas Fourny - 02/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes SL et SLC (R107 et C107) : l’amour sans risque
Après 48 912 exemplaires produits de sa SL W113 Pagode, Mercedes se devait de remettre en jeu une nouvelle SL, notamment pour la clientèle américaine, sans se douter que les R107 (cabriolet) et C107 (coupé) allaient exploser les compteurs, et durer jusqu’à la fin des années 80 (pour le R107 du moins). Avec près de 20 ans de carrière, la SL « nouvelle mouture » allait marquer de son empreinte deux décennies, devenant le symbole de la réussite, du showbiz et des années frics. Une fois mise en retraite commerciale, la SL passa rapidement aux yeux des amateurs dans le domaine de la collection, évitant de rester trop longtemps dans la zone trouble de l’occasion. Avec ses multiples moteurs, sa large diffusion et sa qualité « à l’allemande », elle demeure un must-have abordable (enfin, tout est relatif) et surtout tellement attachant.
02/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz E60 AMG W124 : missile autoroutier
La Mercedes E500 W124 n’est pas tout à fait une rareté, car l’air de rien, il en sera produit plus de 10 000 exemplaires, mais si l’on se tourne vers ses dérivés dotés du sigle AMG, on augmente alors le coefficient de façon évidente. À cette époque, AMG n’était pas encore intégré au groupe Daimler-Benz, et pouvait s’amuser à proposer ses propres versions malgré la présence dans la gamme de la E500. Ainsi, en parallèle des C36 (W202), AMG produisait aussi une E36 dotée du même moteur, ou d’une méchante version E60 dérivée de la E500, celle qui nous intéresse aujourd’hui.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/08/2022
Lire la suite
undefined
Panhard VPS : une Mercedes G270 CDI au sein du COS !
En rédigeant l’article sur les Ford Ranger achetées par l’armée Française (lire aussi : Ford Ranger commandées par l’armée française), j’ai pu voir de nombreux commentaires sur les forums autos sur le mode « et alors, on aurait pu refaire des P4 », ou bien « on a qu’a acheter du Mercedes G », et autres propositions « d’experts » qui n’avaient pas compris que le P4 n’était plus fabriqué (en l’état), coûtait trop cher à remettre à niveau, et que son équivalent Mercedes G (lire aussi : Mercedes Classe G), même s’il était encore en production, n’était pas adapté à toutes les missions de l’Armée de Terre d’aujourd’hui.
02/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes C36 AMG : la discrète réponse de Stuttgart à la BMW M3
Si vous lisez mes articles depuis le début, vous devez savoir mon affection pour les berlines qui cachent bien leur jeu. Il était temps de vous parler de l’une d’entre elle, discrète et efficace, répondant à l’exubérance de la BMW M3 (lire aussi: BMW M3) par une ligne sage et une philosophie totalement différente mais pas moins efficace : la Mercedes C36 AMG.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes 600 (W100) : la voiture des stars et des dictateurs !
Au milieu des années 50, la seconde guerre mondiale paraît déjà bien loin pour Mercedes-Benz qui s’est engagé avec succès dans de nouveaux modèles, modernes et bien finis, comme les modèles type « Ponton ». Elle a même repris pied dans le luxe avec la Classe S W128 puis à partir de 1959 la W111. Mais cela ne suffit pas à la vénérable marque Souabe qui souhaite dès 1955 lancer un modèle hors norme, moderne, fiable et puissant, pour couronner sa gamme renaissante. L’idée générale, c’est de retrouver le prestige d’antan des « grossen » Mercedes. Surtout, la marque a compris qu’un marché était à prendre : celui de la voiture de « représentation », voiture d’état, limousines et même landaulets (un type de véhicule courant avant-guerre mais disparu ou presque après 1945). Les marques prestigieuses du monde entier soit souffrent, soit fonctionnent sur des plate-formes anciennes, comme Rolls Royce dont la Silver Cloud I, sortie en 1955, est encore fabriquée avec un châssis séparé !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/08/2022
Lire la suite
undefined
Caisse de lecteur : la Mercedes SL 500 R230 de Michel
Auteur de bouquins (AMG, Type E, etc.) chez ETAI et contributeur à Boitier Rouge depuis six mois, je n’ai eu aucun mal à accepter la proposition de Paul: composer une ode à mon SL 500 quinze ans d’âge, que je mets en vente après quatre ans d’idylle.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz 190 E 2.6 : l’ivresse sous contrôle
Décembre 1982 : la Daimler-Benz présente une création à l’importance toute particulière puisque, pour la première fois depuis la fin des années quarante, la firme de Stuttgart consent à descendre en gamme sous les traits d’une 190 depuis longtemps annoncée, par la presse spécialisée, comme la petite Mercedes. La réalité s’avère cependant plus complexe : si la nouvelle venue présente en effet des dimensions nettement plus réduites que la série 123, avec une longueur inférieure d’une trentaine de centimètres, elle demeure cependant très loin d’une petite voiture ; ses 4,42 mètres et ses quatre portes l’inscrivent dans un segment de marché atypique et peu fréquenté — celui des familiales dynamiques. S’y ébattent déjà des automobiles aussi différentes que l’Alfa Romeo Giulietta, la Saab 900 ou, surtout, la BMW série 3 E30, qui fait elle aussi son apparition en ce même automne.
Nicolas Fourny - 01/08/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz SL 65 AMG Black Series (R230) : ainsi meurent les civilisations
Les fans des Beatles savent que Revolution (morceau écrit et composé par John Lennon en 1968) a existé en plusieurs versions, dont les deux plus connues se situent aux antipodes l’une de l’autre. Sur le Double Blanc, en figure en effet une exécution lente, sensuelle et presque grasseyante, tandis que son auteur enregistra en parallèle une variante bien différente, sur un rythme accéléré, les guitares se trouvant à la limite de la saturation et s’efforçant d’inscrire cette chanson dans une forme de sauvagerie conceptuelle. On pourrait en dire autant de la Mercedes SL de la génération R230 (2001-2011) : cette auto a assumé plusieurs identités successives, du paisible cabriolet de plaisance pour octogénaires fortunés au roadster surpuissant mais difficile à maîtriser. Cependant, il faut croire que les 612 chevaux de la SL 65 AMG originelle, qui couronnait pourtant très honorablement la gamme, n’étaient pas suffisants car les ingénieurs d’Affalterbach décidèrent, eux aussi, de saturer leurs instruments et de pousser la plaisanterie un peu trop loin — juste pour voir. Et devinez quoi : il se trouva, quelque part au sein de la direction générale de Daimler, des décideurs assez cinglés pour donner une suite industrielle au résultat de leurs fantasmes ! La Black Series était née…
Nicolas Fourny - 01/08/2022
Lire la suite
undefined
Les automobiles de collection : une seule n’est jamais assez
Chez CarJager, on sait ce que c’est que de rêver d’une auto. Chez nous, chacun a une liste d’autos qu’il aimerait posséder un jour. Alors, quand on rencontre un client qui a le même virus, on ne peut pas s’empêcher de l’envier, au moins un petit peu. Et c’est ce qui est arrivé avec notre ami Stéphane.
Daniel Brooks - 30/07/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz SEC (C126) : à jamais la meilleure !
En octobre 1991, on organisa une petite cérémonie dans l’usine Mercedes de Sindelfingen. Il s’agissait de commémorer la fin de la production du coupé C126 et le dernier exemplaire tombé de chaîne fut photographié après que l’on eût déposé une couronne de fleurs sur son capot, tandis que plusieurs collaborateurs de la maison se rassemblaient autour de l’auto pour un dernier hommage.
Nicolas Fourny - 29/07/2022
Lire la suite
undefined
AMG Hammer : 300 km/h en taxi
Dans les années 80, AMG, connait une croissance annuelle à faire rêver un ex-ministre du budget en campagne. Dopé par le succès des récentes « Baby-Benz » et autre « W124 » – la Classe E avant l’heure – , le préparateur d’Affalterbach réussit un coup de maître en 1986. C’est en effet en septembre, au Salon de Francfort, qu’est dévoilée la dénommée « 300 E 5.6 AMG » mue par un V8 armé d’une culasse 32 soupapes maison. Cinquante-quatre de ces « Hammer » naitront en quatre ans avant que Mercedes ne réplique avec sa 500 E concoctée avec Porsche. Un beau coup de marteau sur le bec, signé AMG !
Michel Tona - 28/07/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes 500E 6.5 Brabus : encore plus exclusive !
C’est l’été, et c’est aussi l’occasion de flâner sur le net sans forcémment « chercher » quelque chose. Souvent, c’est comme cela qu’on trouve. Vous connaissez sans doute mon intérêt pour les berlines qui cachent leur jeux, ces voitures qui sous des aspects bien bourgeois cachent un caractère de feu. C’est pourquoi, par exemple, j’ai toujours eu un faible pour la Mercedes E 500 : puissance et discrétion, fruit des amours illégitimes entre Porsche et Mercos, elle a tout pour me plaire (lire aussi : Mercedes E 500).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 28/07/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes SL R129 : la digne héritière !
Si vous me lisez régulièrement, vous aurez compris que je ne suis pas le plus fervent admirateur de Mercedes. Je ne sais pas vraiment pourquoi cette marque m’attire moins que d’autres « concurrentes » allemandes, comme BMW ou Audi. Pourtant, n’étant pas sectaire, je sais reconnaître le qualités et le sex appeal de certains modèles à l’étoile. Rapidement, et pour les modèles dont j’ai déjà parlé, j’ai adoré la 500 E (lire aussi : Mercedes E500), la 190 E 2.3/2.5 16v (lire aussi : Mercedes 190 E 2.3/2.5-16) ou bien la C36 AMG (lire aussi : Mercedes C36 AMG), entre autre.
Paul Clément-Collin - 28/07/2022
Lire la suite
undefined
Mercedes E36 AMG W124 : l’opportuniste
Si AMG fait aujourd’hui partie de la galaxie Mercedes, il n’en a pas toujours été ainsi. Avant 1999, l’officine d’Affalterbach agissait comme un préparateur, mais adoubé par le constructeur qui, au début des années 90, lui donna enfin l’imprimatur nécessaire à son envol commercial. Cette association commerciale donnera d’abord lieu à une très officielle C36 AMG, vendue dans le réseau Mercedes, mais rapidement, chez AMG, on vit l’intérêt de pousser le bouchon un peu plus loin. Jusqu’à créer une drôle de voiture : la Mercedes E36 AMG W124.
Paul Clément-Collin - 28/07/2022
Lire la suite
undefined
Les Mercedes dans la série « Dallas »
Il y a quarante ans comme aujourd’hui, rouler en Mercedes-Benz permettait d’afficher une certaine forme de réussite matérielle. Les producteurs de « Dallas » — dont la diffusion s’étendit sur CBS de 1978 à 1991, nous parlons bien sûr de la série originale et non pas de son pathétique revival de 2012 — l’avaient bien compris et eurent largement recours aux voitures de Stuttgart afin d’inscrire leurs personnages dans l’univers d’opulence et de luxe propre à une série qui, bien plus qu’une simple production télévisuelle, fut l’un des phénomènes de société de la décennie 1980. Chacun se souvient évidemment du célèbre roadster rouge de Bobby Ewing mais plusieurs autres modèles à l’étoile eurent l’honneur du célèbre feuilleton, suivant assez fidèlement l’évolution de la firme allemande. En voici la recension exhaustive, dans le désordre des plaques d’immatriculation…
Nicolas Fourny - 27/07/2022
Lire la suite
undefined
Jamais deux sans… quinze ?!
Pour certains, collectionner ressemble beaucoup à accumuler. Mais en fin de compte, pourquoi pas ?  Si l’on adore une auto, pourquoi s’en séparer, surtout si ce n’est que pour une vulgaire question de place ? On n’a qu’à trouver de la place. Et alors si on en a, il n’y a pas d’excuse.
Daniel Brooks - 07/09/2021
Lire la suite
undefined
Mercedes Classe E W124 : un classique indémodable
Depuis le lancement de la Ponton dans les années 50, Mercedes construit patiemment son leadership sur le segment des berlines statutaires (on ne dit pas encore premium) avec une série de voitures sérieuses, les W114/115 et W123. Mais au début des années 80, il s’agit d’offrir une image encore plus moderne pour distancer son concurrent mais néanmoins compatriote, BMW qui, une fois remis de sa quasi-faillite du tout début des années 60, s’est mis en tête de venir sur les mêmes plates-bandes et dont la Série 5 E28 taille sérieusement des croupières à la W123. Aussi, Mercedes-Benz décide de lancer en 1984 une nouvelle berline moyenne, la W124, histoire de bien montrer qui est le patron.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 08/06/2021
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz 560 SL : « ma première Mercedes », il était temps.
L’envie d’anciennes, chez CarJager, on sait ce que c’est. En revanche, l’embarras du choix peut être troublant. Surtout si l’on a attendu pour s’offrir ce dont on a envie. Tout d’abord, il faut se donner l’autorisation de succomber à la tentation ; ensuite, il faut régler les problèmes de “culture familiale”— ce qui revient à se demander si l’on peut permettre une telle indulgence envers soi-même.
CARJAGER - 26/05/2021
Lire la suite
undefined
Mercedes SLK (saga) : Sportive, Légère et Kompacte, promesse tenue
Dans le glossaire de Mercedes-Benz, depuis les années 50, « SL » veut dire sportif et léger. Quand, au début des années 90, la 500 SL (R129), son chauffeur, sa maîtresse et un plein de Super franchissent les deux tonnes, on est en droit de se poser la question d’une si présomptueuse dénomination. Des sièges très épais et motorisés, un V8 qui cube 5 litres, une capote électrique, un arceau mobile bien costaud, on estima alors à juste titre que le « S » de SL symbolisait davantage Sonderklasse que Sport. Au même moment, la Mazda Miata avait révolutionné le concept du roadster 2 places simple et léger « à l’anglaise », et il ne fallut pas longtemps à de nombreux constructeurs pour enquiller avec leur version de l’idée : BMW Z3, Fiat Barchetta, Porsche Boxster, etc.
Pierre Dauvergne - 19/09/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz 300 SEL 6.3 (W109) : l’ensauvagement de la bourgeoisie
Si vous connaissez bien la gamme Mercedes-AMG contemporaine, vous aurez sans nul doute remarqué que plusieurs de ses modèles sont dénommés « 63 », sans toutefois que ce nombre corresponde à leur cylindrée. En fait, il s’agit là d’un sympathique clin d’œil à une cylindrée devenue mythique dans l’histoire du constructeur allemand depuis la fin des années 1960 lorsque, de façon inopinée, le V8 de la limousine 600 fut greffé dans la caisse plus modeste de la série W109, donnant ainsi naissance à l’une des plus extraordinaires berlines de son temps. Voici l’histoire d’une auto qui ne s’est pas contentée de marquer son époque mais qui constitue le tout premier jalon d’une longue histoire, laquelle se poursuit aujourd’hui…
Nicolas Fourny - 18/09/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes 300 SL : « Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée »
Elle fut une reine de la route, une voiture de course remportant toutes ses courses, puis une voiture de route élitiste et rare. N’en retenir que l’effet de ses portières estompe sa finesse constructive. La 300 SL FlügelTüren disqualifie tout contempteur de la chose automobile. Elle n’aurait pas de descendance, si ce n’est la SLR Uhlenhaut de 1955 hors normes. Comme comparer un Mirage III et un Mirage IV.
Jean-Jacques Lucas - 21/07/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz 300 SL Roadster : En avant, calme et droit
Il faudrait en finir avec les poncifs de l’érotisation des voitures et leur disqualification parce que l’univers des formes automobiles en est réduit à de telles facilités. Même l’alètheia  des Grecs est transposable à la culture automobile pour faire tendre vers une vérité contre l’opinion (la doxa). Les ingénieurs savent mieux que quiconque la vérité technique des choses comme les musiciens entendent une partition dès sa lecture. La Mercedes Benz 300 SL Roadster, ou W 198 II pour les initiés, était une voiture d’ingénieur et non une coquetterie, une réussite de grande dignité, de grande tenue technique et esthétique quand le constructeur dut quitter les circuits, couvert du sac et de la cendre en 1955.
CARJAGER - 21/07/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz CL (C 216) : et si c’était elle ?
Les coupés Mercedes dérivés des générations successives de Classe S ont connu des fortunes diverses. Tantôt admirés pour l’équilibre de leur design, tantôt malmenés en raison d’une ostentation véritable ou supposée, ils suscitent invariablement une forte attente de la part de leur clientèle potentielle comme des observateurs. Incarnant depuis des décennies une idée très spécifique du luxe, du voyage, voire même un certain art de vivre, ces automobiles sont à chaque fois, à en croire la communication de la marque, « only approached by their predecessors ». Pour autant, de la morgue des slogans à la réalité du marché, il y a parfois un gouffre et, plus que beaucoup d’autres, ce sont là des machines condamnées à faire toujours mieux, à tous égards ; en la matière, c’est peu dire que le coupé de la série C 216 a été accueilli avec froideur. Souvent fustigée durant ses huit années de vie commerciale, l’auto a, depuis lors, sombré dans l’oubli et sa traversée du désert ressemble diablement à un injuste supplice. Le recul des années aidant, le moment est sans doute venu de réexaminer son cas…
Nicolas Fourny - 16/07/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes SL W113 : Pagode mon amour !
D’une certaine manière, la 300 SL et sa “soeur” 190 SL sont apparues dans la gamme Mercedes un peu par hasard, grâce notamment à l’insistance de l’importateur américain Max Hoffman. Pour remplacer ce duo, Daimler-Benz allait réfléchir de façon stratégique pour proposer un modèle “universel” capable de séduire tant les Américains que les Européens tout en présentant une plastique beaucoup plus moderne. Adieu les rondeurs très typées “fifties”, place à un style plus anguleux et à un hard top au dessin caractéristique qui lui vaudra le surnom de Pagode. Retour sur la Mercedes SL (nom de code W113).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 10/06/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes-Benz SLC C107 : fantôme d’amour
Le titre de cet article est emprunté à un film de Dino Risi mais, lorsqu’on évoque les Mercedes de la série 107, d’autres images viennent immédiatement à l’esprit : la 380 rouge de Bobby Ewing empruntant l’allée principale du ranch de Southfork, Richard Gere filmé derrière son pare-brise dans American Gigolo ou, dans un registre plus littéraire, notre cher Jean d’Ormesson rentrant chez lui au volant de sa 500 encombrée de livres. Point commun de ces souvenirs aussi divers que solidement ancrés dans la mémoire collective : ils concernent tous la version décapotable de cette série, c’est-à-dire la SL. Pourtant, dans l’ombre de celle-ci, a existé une variante à toit fixe qui, de nos jours, ne suscite qu’un intérêt limité. Régulièrement négligée par la Daimler-Benz elle-même qui, de façon systématique, évacue le modèle des rétrospectives consacrées aux coupés haut de gamme de la firme, la SLC mérite pourtant bien mieux que d’être ainsi mise à l’écart, tel un rejeton indigne. Les lignes qui suivent vont — très modestement — s’attacher à réparer cette injustice.
Nicolas Fourny - 14/05/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes 500 GE : les débuts de la démesure !
En ce début des année 90, Mercedes avait décidé de quitter son costard-cravate un peu étriqué pour une tenue plus casual chic : sans tomber dans le survêtement Tachini façon BMW, la marque à l’étoile préférait rester dans une posture un brin bourgeoise, mais plus cool, en glissant lentement vers plus de sportivité. Les 190 E 2.3-16 puis 2.5 avaient montré la voie en fin de décennie précédente, mais c’était sans doute un peu trop voyant pour Mercedes. Au lieu de cela, en 1990, c’était la 500 E qui étrennait un gros V8 sous une robe quasi inchangée pour 320 chevaux sous le capot, tandis qu’AMG préparait en douce une C36 capable de dynamiser la Classe C sans tomber dans l’exubérance de la bavaroise M3. Seule entorse à cette ligne de conduite, l’étonnante 500 GE présentée en mars 1993 qui sonnait le top départ d’une dangereuse dérive vers le bling-bling.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/04/2020
Lire la suite
undefined
Mercedes C111 : les flèches oranges
À la fin des années 60 et durant les années 70, la firme allemande Mercedes-Benz développe un véhicule expérimental qui, décliné en plusieurs versions, allait explorer le champ des possibles technologiques : moteur Wankel à piston rotatif, moteur diesel ou aérodynamique poussée. Les premiers prototypes marquèrent les esprits par leurs lignes extraordinaires et leurs portes papillon, laissant supposer (à tort) qu’un successeur à la fabuleuse 300 SL était en préparation. Ces concept-cars portaient le nom de C111, et voici leur histoire.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 26/11/2019
Lire la suite

Vous ne trouvez pas votre auto ?
Faites appel à un Car Specialist