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Ferrari 12Cilindri : puisque vous partez en voyage
« La 12Cilindri vous emporte jusqu’à sa zone rouge dans un rugissement dont la mélodie ne laissera pas votre âme indemne »  
Nicolas Fourny - 22/11/2024
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Ferrari F430 : une éblouissante transition
« Il est tout à fait possible de musarder à basse vitesse puis de déchaîner le V8 dès que l’horizon se dégage et d’atteindre très vite des allures que la loi réprouve »
Nicolas Fourny - 18/06/2024
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Ferrari FF : Maranello fait le break !
« Sa polyvalence d’usage est stupéfiante pour une machine de ce calibre. En FF, on peut partir en voyage entre amis ou ramener une commode chinée chez un antiquaire durant le week-end »
Nicolas Fourny - 04/10/2023
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Ferrari 458 : les vestiges du jour
« Il faut, au minimum, une 911 GT2 bien conduite pour pouvoir espérer suivre le rythme, car le châssis se révèle amplement à la hauteur du ramage, la voiture réalisant des temps similaires à ceux de l’Enzo sur la piste de Fiorano »
Nicolas Fourny - 01/06/2023
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Ferrari 275 GTS/4 Spyder NART : un séduisant accident de l’histoire
« Si vous vous amusiez à dresser la liste des cabriolets à moteur 12 cylindres apparus depuis la guerre, vous n’y consacreriez pas beaucoup d’encre et, du reste, au départ Maranello n’avait pas prévu de développer une telle variante en partant de la 275 GTB/4 »
Nicolas Fourny - 19/01/2023
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Maserati MC12 : ne l’appelez pas Ferrari !
« Bien plus rare qu’une Enzo construite à 400 exemplaires, la supercar de chez Maserati n’a, contrairement à sa cousine, connu aucune descendance »
Nicolas Fourny - 25/12/2022
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Ferrari BB : la pionnière oubliée
Depuis l’apparition de la Lamborghini Miura, en 1966, une controverse apparemment sans fin brûlait entre Ferrari et Pininfarina. Les deux partenaires, dont l’association remontait aux origines mêmes de la firme de Maranello, divergeaient sur une question majeure, puisqu’elle concernait l’architecture des berlinettes au cheval cabré : celles-ci devaient-elles porter leur moteur à l’avant ou en position centrale arrière ?
Nicolas Fourny - 08/11/2022
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Ferrari 456 GT Venice : le pouvoir de l’argent !
Disposer d’un compte en banque sans fond, d’une carte bleue virant plutôt vers le noir, et créant chez votre interlocuteur une déférence immédiate, et d’une certaine patience permet des extravagances pas toujours de bon goût, mais la certitude de rouler de façon totalement unique. Et puis quand on aime, on ne compte pas, c’est bien connu !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 29/08/2022
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Ferrari 512 TR : la meilleure des Testarossa
Dans les années 80, de nombreuses chambres d’adolescents furent ornées de posters à la gloire d’une voiture rouge devenue mythique : la Ferrari Testarossa. Moderne héritière de la 512 BB, elle proposait un style moderne et strict, remplaçant les rondeurs convenues des Ferrari d’alors par des lignes et des angles reflétant l’époque et ringardisant une concurrence vieillissante. Testarossa : les jeunes garçons d’alors n’avaient plus que ce mot à la bouche pour décrire la sportive de leurs rêves. À cause sans doute de son changement de nom (et de l’abandon d’une appellation mythique), on oublie trop souvent qu’elle eut une descendance encore plus désirable : la Ferrari 512 TR.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/08/2022
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Ferrari 308 GTB/GTS : chef d’oeuvre d’entrée de gamme
Réticent à descendre en gamme avec son propre nom, Ferrari avait tenté l’aventure au milieu des années 60 avec celui de son fils, Dino et une certaine réussite : la 206 puis 246 GT, à moteur central arrière et V6 avaient rencontré leur petit succès qui se constate encore aujourd’hui. En 1974, ne subsistait plus au catalogue que la récente 308 GT4 dessinée par Bertone dotée de 4 places et d’un V8, mais au physique compliqué. On se mit alors en tête, chez Ferrari, de créer une descendance à la 246 GT plus consensuelle que la GT4 tout en conservant le même excellent moteur V8 de cette dernière. Ce projet donnera naissance à la fabuleuse Ferrari 308 GTB (puis GTS), une voiture mythique à plus d’un titre.
Paul Clément-Collin - 05/08/2022
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Ferrari 360 Modena : rupture totale
La Ferrari 360 Modena est une voiture de rupture technologique, mais aussi stylistique. Avec cette nouvelle berlinette, Ferrari sort du XXème siècle pour entrer dans le XXIème, tirant un trait sur toute une génération née avec la 308 GTB/GTS en 1975. Durant 25 ans, Ferrari a usé de la même recette actualisée modèle après modèle. Avec la Modena, elle fait table rase du passé et propose une vraie nouveauté, à la fois excitante et contrariante. Car malgré son excellence, la 360 divise. Retour sur une Ferrari particulièrement intéressante et pourtant clivante !
Paul Clément-Collin - 05/08/2022
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Collectionneur pour un jour, collectionneur pour toujours
Ce n’est pas parce que l’on se sépare de l’une de ses autos que l’on n’est plus collectionneur dans l’âme. Même si celle que l’on a vendue est une Ferrari. Il faut d’abord regarder ce qu’il reste dans le garage et puis se demander si l’on a envie de remplacer la machine au cheval cabré qui vient de partir. Notre ami Renaud, qui a confié à CarJager la vente de sa Ferrari 308 GTS de 1978, est bien ce collectionneur assidu qui n’a pas abandonné sa passion pour autant.
Daniel Brooks - 01/08/2022
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Les Ferrari V12 2+2 : douze devant, quatre derrière
Que les mauvais esprits jugulent leur déception : dans ce titre énigmatique, « derrière » s’écrit bien au singulier. De quoi s’agit-il ? De la belle et longue histoire des Ferrari quatre places à moteur V12. Une histoire qui se prolonge encore de nos jours, et qui a commencé un beau jour du printemps 1960, lorsque la firme italienne décida de s’adresser à une nouvelle clientèle.
28/07/2022
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Maserati Coupé et Spyder (4200) : le compromis grâce à Ferrari
La firme au Trident, passée des mains de Fiat à celles, plus expérimentées et adroites, de Ferrari, avait pu retrouver un peu de lustre en revisitant les dernières générations de Biturbo (Ghibli II et Quattroporte IV), puis accéder enfin à un peu de modernité avec la 3200 GT à la superbe plastique. Pourtant, il restait encore un peu de l’héritage “De Tomaso” qu’il fallait définitivement faire disparaître. La Maserati Coupé (et son dérivé spyder), notamment appelée 4200 GT, conserve la ligne générale de la 3200 et se « ferrarise ». Cet élan permettait à la marque à la fois de sortir de l’anonymat et de pousser les portes du marché américain.
Paul Clément-Collin - 22/07/2022
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Ferrari F40 : la 21 CV du bonheur
De temps à autre, le musée du Louvre prête l’une de ses œuvres pour une exposition temporaire, plus ou moins lointaine. En de telles circonstances, on déploie un luxe inouï de précautions pour transporter le tableau ou la sculpture ordinairement peu enclins au voyage, que l’on manipule avec l’absolu respect que suscite le fait de se trouver en présence d’un objet qui est bien plus qu’un objet, qui est né bien avant nous et durera bien après nous, qui témoigne tout à la fois du génie humain et de notre finitude. Il en va un peu de même au moment d’écrire sur un monument aussi paradoxal que la F40, vulnérable et puissante, emblématique et datée, rarissime sur les routes et pourtant si familière. Ébloui et nostalgique des jeunesses enfuies — celle de l’auto et la sienne —, le rédacteur ne peut qu’être intimidé par la densité de la légende qui s’est immédiatement emparée de cette machine et ne l’a plus quittée depuis.
CARJAGER - 10/05/2021
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Ferrari F355 GTS : découvert autorisé
Dans l’histoire de l’automobile, l’acronyme GTS a connu des fortunes diverses. On l’a par exemple vu sur des Porsche 924, sur des Renault 21, sur des Opel Vectra et, comme chacun sait, Ferrari n’a pas été la dernière à en user. Les Gran Turismo Spider, par opposition aux berlinettes souvent dénommées GTB, ont souvent repris le principe établi en 1966 par la première 911 Targa : il ne s’agit pas de décapotables à proprement parler, mais de séduisants compromis aux caractéristiques qui préservent l’essentiel de la polyvalence des versions fermées, tout en autorisant la conduite cheveux au vent. De 1980 à 1988, Thomas Magnum a beaucoup œuvré pour populariser ce concept mais, dix-huit ans après l’apparition de la première 308 GTS, Ferrari lui donna une descendante qui s’inscrivit, avec une exactitude haletante, à la frontière qui sépare la tradition de la modernité. Après elle, on bascula pour de bon dans le XXIe siècle, sa sophistication, ses outrances esthétiques, son agressivité. Raison de plus pour accueillir avec reconnaissance le lumineux souvenir de la Ferrari F355 !
Nicolas Fourny - 24/02/2021
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La Ferrari 599 GTB Fiorano : la mémoire innovante
Interrompue en 1973 à l’apparition de la BB, la longue tradition des berlinettes Ferrari 12-cylindres à moteur avant a repris son cours vingt-trois ans plus tard, lorsque la 550 Maranello (tipo F133) fut dévoilée, au début de l’été 1996. Depuis lors, la firme italienne a maintenu le cap, comme indifférente à ses nombreuses rivales à moteur central, perpétuant ainsi un antagonisme architectural remontant à la création de la Lamborghini Miura, à laquelle la Daytona apporta une réponse à la fois cinglante et crépusculaire, peu d’années après. Au mitan des années 2000, la 599 GTB Fiorano fut, à son tour, chargée d’incarner la ténacité de ce postulat solitaire, simultanément porteur d’un fabuleux héritage et condamné à le remettre sans cesse en question. Quelque peu éclipsée, dans la mémoire collective, par l’éblouissante F12 qui lui succéda, l’auto mérite néanmoins le détour…
CARJAGER - 20/10/2020
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Ferrari 275 GTB : beau comme l’antique
Ferrari 275 GTB. Elle n’a même pas de nom, mais son moteur porte, par habitude, celui de son lointain fondateur. Elle est une machine désignée par sa cylindrée unitaire, trois chiffres, et sa catégorie de compétition, trois lettres. Une Ferrari n’a pas besoin de nom supplémentaire. Elle est un aptonyme aux récits inépuisables.
Jean-Jacques Lucas - 21/07/2020
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Ferrari 250 GT/L : la beauté d’un crépuscule
Chez Ferrari, 250 fait quasiment figure de nombre magique. On le retrouve sur une grande diversité de modèles, de la GTO aux cabriolets California, des berlinettes de compétition aux coupés « familiaux » dédiés au grand tourisme. Et, au cœur de cette famille aux multiples ramifications, la GT/L — présentée pour la première fois au Salon de Paris 1962 sous la forme d’un prototype très proche de la série — occupe une place à part, en raison d’une identité astucieusement métissée entre sportivité et… luxe (comme l’indique son patronyme). Dernière représentante de la lignée des V12 3 litres, elle ressemble cependant plus à une préface qu’à un épilogue, en ce qu’elle défriche et annonce les chemins que la firme de Maranello entend désormais suivre — et c’est l’une des multiples raisons de s’intéresser à son destin, aussi fugitif que déterminant.
Nicolas Fourny - 29/06/2020
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Ferrari 365 GTC/4 : grand tourisme de transition
Si Ferrari est une marque bien connue des amateurs, des collectionneurs et même du grand public, il existe pourtant des modèles encore peu connus, mal aimés et pourtant tout aussi intéressants. La 365 GTC/4 fait partie de ces modèles : produite pendant seulement deux années, à une époque où le style Ferrari se cherchait encore et sans doute moins mise en avant par son caractère de GT, la GTC/4 n’en est pas moins très intéressante, sorte de GTB/4 à 4 places plus confortable et plus civilisée. Retour sur cette étrange voiture de transition qui céda rapidement sa place à l’anguleuse 365 GT4.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 19/02/2020
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Ferrari 288 GTO : la première supercar ?
400 chevaux, 305 km/h, 0 à 100 en 4,8 secondes, un look bestial pourtant si proche de la 308 (puis 328), la Ferrari 288 GTO faisait entrer Maranello dans l’ère des supercars, bientôt suivie par Porsche et sa 959. Si beaucoup d’entre nous voient en la F40 le graal du cheval rampant, moi, au risque de m’attirer les foudres de certains, je lui préfère largement la GTO qui, à mon sens, n’usurpe pas ses 3 lettres tout en conservant un style attrayant, au contraire de son héritière. Petit retour sur la Ferrari 288 GTO.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 16/08/2019
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Ferrari 365 GTB/4 “Daytona” : l’anti-Miura
Alors que Lamborghini s’était convertie au moteur central arrière avec la Miura, Ferrari préférait, de son côté, rester conservateur et proposer une GT à moteur avant. Pour remplacer la 275 GTB/4 et mieux contrer la concurrence bolognaise, Ferrari allait donc opter pour le classicisme technique tout en optant pour un design résolument moderne. Ainsi naquit la Ferrari 365 GTB/4 en 1968, plus connue sous le nom officieux de “Daytona”.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/04/2019
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Ferrari 250 GT SWB : le roman d’un archétype
Parmi les Ferrari de l’âge classique, la 250 Passo Corto occupe une place très particulière dans le cœur des amateurs. Son vocabulaire esthétique, émouvante synthèse entre l’élégance formelle du grand tourisme et l’agressivité de la compétition, son identité dichotomique entre la course et la route ainsi que la rage et la musicalité de son V12 en ont édifié la légende et aussi la popularité : dans n’importe quel rassemblement d’automobiles anciennes, dans n’importe quelle vente aux enchères, la berlinette Short Wheel Base est immédiatement repérée par le spécialiste comme par le profane — et, concernant ce dernier, sans doute plus aisément que d’autres Ferrari contemporaines. C’est là le destin des icônes : elles commencent d’exister dans l’imaginaire des stylistes et des ingénieurs, prennent forme puis vie dans des usines emplies de bruit, d’amour et de joie d’être, pour ne jamais achever leur parcours, puisqu’elles sont promises à l’éternité.
Nicolas Fourny - 09/01/2019
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Ferrari 550 Maranello : un V12 nommé Squale !
Si la tradition d’une 2+2 à moteur V12 à l’avant avait perduré, à Maranello, grâce à la Ferrari 365/400/412 jusqu’en 1989, puis à la 456 GT à partir de 1992, celle d’une sportive stricte 2 places sur la même architecture avait disparu avec la fin de la 365 GTB/4 Daytona en 1973. Chez Ferrari, le sport avait été porté alors par des supercars type BB 512 ou Testarossa au moteur 12 cylindres à plat en position centrale arrière. En juillet 1996, la marque italienne présentait donc la 550 Maranello, en digne héritière de la Daytona.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/11/2018
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McLaren 570GT: l'été Supercar (1ère partie)
Lorsque McLaren vous prête une voiture pour presque une semaine, vous mesurez le chemin parcouru depuis 2014 où, sans expérience ni contact, vous n’en espériez pas temps. Trois ans plus tard, je finirai presque par trouver cela normal puisque dans la foulée, Niko est parti tester la Ford GT (pour la 2ème partie de l’été Supercar de Boîtier Rouge). Chez les anglais, c’est une 570GT qui m’a été prêtée, version « embourgeoisée » de la 570S. Au menu, un V8 biturbo de 3.8 litres et 570 chevaux (vous avez pigé le nom maintenant).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 22/08/2017
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Monteverdi Hai 650 F1 : le dernier baroud de Peter Monteverdi
Même lorsque l’on est dans un Salon comme celui de Genève, dédié à la nouveauté automobile, on tombe toujours sur une référence au passé. Sur leurs stands, certaines marques apportent toujours dans leurs bagages un modèle emblématique, histoire d’expliquer le présent. Mais tomber sur le stand d’une marque disparue depuis belle lurette est un peu plus étrange. Pas à Genève où une petite place est toujours laissée à l’ancienne marque nationale Monteverdi. Enfin, plus précisément aux gardiens du temple, qui gère le musée Monteverdi Automuseum sur les lieux même ou furent fabriqués la plupart des modèles, près de Bâle.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 14/03/2017
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Formule 1 : Le Mirage Brawn Grand Prix !
Derrière chaque victoire, en F1 ou ailleurs, se cache une équipe. Et pour diriger une équipe il faut un chef d’orchestre. Ross Brawn est de ceux là. Pas n’importe lequel : il a été le cerveau technique de la Scuderia Ferrari pendant toute les campagnes victorieuses des années Schumacher. Dix années au sommet dans l’équipe la plus prestigieuse du circuit. Placé ici par Jean Todt et Lucas di Montezemolo, Ross est un stratège, un recruteur et un brasseur d’idées. On dit de lui qu’il maîtrise les échecs, la pêche à la truite et la taille des rosiers à la perfection. Mais dans le sport ou la politique, les talents n’aiment pas rester Numero deux. Quand Ross Brawn sollicite la tête de la direction de la Scuderia, et que Di Montezemolo  la lui refuse,  il quitte le navire. Il ira pêcher des truites pendant le championnat 2007.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/07/2016
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Caisse de lecteur: l'Alpine A310 1600 VE de Pierre !
Le week-end dernier, Ford avait eu la bonne idée d’organiser pour moi et quelques blogueurs plutôt « life-style » une petite virée à bord de 3 Mustang pour participer au 5ème Rallye Vendée Classic à Saint Gilles Croix de Vie. C’est le genre d’opération que j’apprécie car pas directement orientée « produit », même si c’est l’occasion de tester un modèle (lire aussi : Ford Mustang VI), et permettant de rencontrer beaucoup de gens intéressants, dans un cadre détendu. Et pour un passionné automobile comme moi, quoi de mieux qu’un rallye pour passer un bon week end ?
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/06/2016
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Campogalliano : la démesure selon Bugatti !
Le 15 septembre 1990, la flamboyante usine Bugatti était inaugurée avec faste, laissant croire à un futur radieux pour la marque devenue italienne, mais qui avait tenu à maintenir le lien avec « l’héritage » français en organisant la parade d’anciennes Bug’ et d’un flambeau (à la manière des jeux olympiques) de Molsheim, en Alsace, à Campogalliano, près de Modène. Le nom de Bugatti revenait enfin en terre italienne, 88 ans après qu’Ettore ait quitté sa mère patrie pour s’installer en France. Juste retour des choses pour les Italiens, hérésie pour les Français (lire aussi: La vraie nationalité de Bugatti).
18/05/2016
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Maserati 3200 GT: le trait d'union !
La Maserati 3200 GT est une voiture charnière pour la marque au Trident. Née sous l’ère Ferrari, prémice du renouveau de Maserati, elle n’en est pas moins liée au passé, et particulièrement à la Biturbo si décriée. En exagérant un peu (mais je ne suis pas si loin de la vérité), la 3200 GT n’est rien de moins qu’une Maserati Shamal évoluée (pour son V8, lire aussi : Maserati Shamal), sur un châssis proche de celui de la Quattroporte IV (lire aussi : Maserati Quattroporte IV) à l’empattement plus long (oui oui!) permettant à ce coupé Grand Tourisme d’offrir 4 vraies places !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/02/2016
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New Stratos : joujou pour millliardaire !
Soyons clair, lorsqu’on est riche à million, les rêves d’enfant deviennent accessibles, et prennent une autre dimension. Michael Stoschek, héritier et désormais patron d’un gros équipementier allemand, Max Brose, fait donc partie des gens capables de se payer des petits plaisirs incroyables, et notamment celui de s’offrir une évocation moderne de la mythique Lancia Stratos, dessinée par Pininfarina, et dotée d’un moteur Ferrari. Mieux, l’ami Stoschek s’est rêvé, le temps que la réalité le rattrape, constructeur de ce modèle en petite série : la New Stratos.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 30/01/2016
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Renault 5 Turbo PPG Pace Car: le "must have" du collectionneur !
Si je vous dis « PPG Industries », vous allez me rire au nez… Rien de très glamour qu’un fabricant américain de peintures (pour les voitures justement), de chlore, de verre, ou de fibre de verre, réalisant plus de 15 milliards de $ de chiffre d’affaire en 2013. Enfin c’est ce que vous croyez ! Car au début des années 80, PPG eut la bonne idée de sponsoriser les courses d’Indy Car. Le championnat portait d’ailleurs à l’époque le nom du fabricant, PPG Indy Car World Series.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/12/2015
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