Citroën M35 : moteur rotatif, clients cobayes et bide monumental
L ‘Ami6 avait un profil dérangeant, mais original. On ne peut pas dire qu’elle était belle, mais elle détonnait ! L’Ami8 gommait sa singularité, en devenant tout bonnement moche, ce qui était déjà plus convenable dans une France conservatrice. Mais le pire du pire fût atteint avec la Citroën M35, qui perdait en devenant coupé le fragile équilibre que le hayon tentait de donner à l’Ami8. En plus d’obtenir la palme de la Citroën la plus laide de l’histoire, elle réussit à en devenir le bide le plus retentissant.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/12/2014