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Maserati Mistral : les charmes ambigus de l'obsolescence
« La Mistral se singularise par une ligne de caisse inhabituellement basse, autorisant des vitrages particulièrement généreux »
Nicolas Fourny - 22/10/2024
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Maserati Ghibli : il n'y a pas que la Daytona dans la vie !
« Grâce à l’importance du couple disponible, la Ghibli se plie sans sourciller à tous les styles de conduite, du plus paisible au plus impétueux »
Nicolas Fourny - 26/03/2024
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Maserati Quattroporte II : en avant toute (mais pas longtemps)
« La Quattroporte II apparaît tout à la fois comme l’une des Maserati les plus énigmatiques et comme l’une des Citroën les plus secrètes »
Nicolas Fourny - 20/09/2023
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Maserati Merak : une GT à bout de souffle
« Quand on les compare de l’extérieur, les différences stylistiques entre la Merak et la Bora relèvent du détail et le béotien les confondra volontiers car, jusqu’au montant B, les deux autos sont à peu près identiques, au design de leurs jantes près »
Nicolas Fourny - 02/08/2023
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Maserati Khamsin : la malédiction Citroën !
Il y a une Maserati rare et peu connue, même par les spécialistes, qui commence aujourd’hui à revenir en grâce, à la faveur de la flambée spéculative sur les véhicules de collection : il s’agit de la Khamsin. Et oui, encore un vent chaud comme à l’accoutumée chez Maserati avant l’apparition de la Biturbo, celui-ci venant d’Egypte.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/09/2022
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Maserati Ghibli II : l’anti M3 italienne
En ce début d’année 1993, la référence en matière d’automobile compacte à haute performance, c’est la BMW « E36 » M3, avec son 6 cylindres en ligne de 3 litres et ses 286 ch (lire aussi: BMW M3 E36). Pas de doute (et cela se confirmera), cette Béhème tiendra le haut du pavé pendant longtemps.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 05/08/2022
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Maserati Quattroporte IV : la discrète
Dans la série des berlines au tempérament de feu caché sous une robe discrète et élégante, on trouve la Maserati Quattroporte IV. Cette ultime berline avant la prise de contrôle total de Ferrari est l’aboutissement de la lignée des célèbres « Biturbo », débutée en 1981 (lire aussi: Maserati Biturbo).
Paul Clément-Collin - 01/08/2022
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Maserati Quattroporte II : la scoumoune française du haut de gamme
A l’occasion d’un événement organisé par Pirelli, j’ai pu faire une petite balade en Champagne à bord, notamment, d’une Maserati Ghibli S Q4. Car si certains constructeurs de voiture de sport sont venus assez tard aux berlines 4 portes (Porsche Panamera, Aston Martin Rapide), le constructeur au trident, lui, produit des berlines depuis 1963. Et si la Ghibli III usurpe un peu son nom (les Ghibli I et II étaient des coupés), elle reste dans la tradition de la maison modénaise ! Bref, au volant de mon italienne, je me disais qu’il me serait difficile d’en faire un vrai compte rendu, ne l’ayant conduit qu’une petite heure… Mais en voyant défiler la campagne française, elle me fit penser à une autre Maserati, bien plus rare, avec 4 portes elle aussi, et aux accents particulièrement français justement : la Quattroporte II.
Paul Clément-Collin - 01/08/2022
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Maserati Bora : l’ancêtre de la MC20 !
Quelle est l’architecture idéale pour une automobile de grand tourisme ? Voilà une question à laquelle, depuis l’après-guerre, des réponses très fluctuantes — et parfois contradictoires — ont été apportées par des firmes aussi différentes que Porsche, Lancia, BMW, Ferrari ou Chevrolet. En particulier à partir de 1966, année de l’apparition de la Lamborghini Miura, les constructeurs italiens se retrouvèrent en face d’un dilemme : fallait-il suivre l’exemple de Sant’Agata Bolognese ou celui de Ferrari, qui devait rester cramponnée au V12 implanté à l’avant pour ses berlinettes sommitales jusqu’au début des années 1970 ? Avec la Ghibli, Maserati sembla emprunter le même chemin que le Cavallino Rampante mais pourtant, dans le secret de son bureau d’études, le Trident n’allait pas tarder à préparer un virage à 180 degrés…
Nicolas Fourny - 28/07/2022
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Maserati Coupé et Spyder (4200) : le compromis grâce à Ferrari
La firme au Trident, passée des mains de Fiat à celles, plus expérimentées et adroites, de Ferrari, avait pu retrouver un peu de lustre en revisitant les dernières générations de Biturbo (Ghibli II et Quattroporte IV), puis accéder enfin à un peu de modernité avec la 3200 GT à la superbe plastique. Pourtant, il restait encore un peu de l’héritage “De Tomaso” qu’il fallait définitivement faire disparaître. La Maserati Coupé (et son dérivé spyder), notamment appelée 4200 GT, conserve la ligne générale de la 3200 et se « ferrarise ». Cet élan permettait à la marque à la fois de sortir de l’anonymat et de pousser les portes du marché américain.
Paul Clément-Collin - 22/07/2022
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Maserati GranTurismo : un long dimanche de fiançailles
La carrière des Maserati GranTurismo et GranCabrio est symptomatique de la période incertaine et troublée que traverse l’industrie automobile italienne depuis de longues années déjà. Hormis Ferrari, dont la santé s’avère continûment éblouissante, les autres marques transalpines se sont souvent vues contraintes, faute de moyens, de prolonger au-delà du raisonnable la carrière de modèles souvent attachants mais frappés d’une cruelle et injuste obsolescence. Ce fut, entre autres, le sort de ces deux machines au positionnement baroque et aux ambitions floues — ce qui ne les empêche pas, aujourd’hui encore, de dispenser bien des joies à leurs conducteurs. À présent qu’elles ont quitté la férocité des comparaisons et des jugements, à présent qu’elles ont rejoint les rivages plus tranquilles d’une certaine forme d’hédonisme routier, penchons-nous, avec bienveillance et lucidité, sur les dernières machines de grand tourisme à moteur avant que la firme au Trident ait offertes au monde.
Nicolas Fourny - 30/10/2020
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Maserati : la saga Quattroporte
L’audace de Maserati dans les années 1960, sous la coupe de la famille Orsi, c’est d’avoir osé s’aventurer dans un domaine particulier, celui de la berline aux attributs sportifs. À cette époque, peu de constructeurs s’étaient engagés dans cette voie. Jaguar, avec sa Mk2, s’était d’une certaine manière autoproclamée premier de cordée, avec une certaine réussite. Car jusqu’à la fin des années 1950, soit on roulait sportif en coupé, soit on roulait pépère en berline. L’audace de Jaguar, puis de Maserati, sera de mélanger les cartes et de proposer un produit hybride. Du côté italien, on se contentera d’un nom simple (voire simplissime), mais finalement génial : Quattroporte !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/08/2020
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Maserati Quattroporte III Royale : débauche de luxe
La présentation à la presse d’une nouvelle finition appelée Royale sur les Maserati Quattroporte VI, Ghibli III et Levante m’oblige à revenir sur celle qui fut l’ultime évolution de la Quattroporte III, et sans doute la plus luxueuse hors commande spéciale, elle aussi dénommée Royale. Plus luxueuse, plus puissante, plus exclusive et aujourd’hui plus rare, la Maserati Quattroporte III Royale offrait un dernier feu d’artifice à ses clients avant de tirer sa révérence.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 14/01/2020
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Maserati Mexico : à la conquête du Nouveau Monde
En ce début des années 60, Maserati bénéficie d’un certain prestige malgré le départ de frères fondateurs à la fin des années 40. Elle reste cependant une petite officine soutenue au forceps par la famille Orsi. C’est pourtant à cette époque que la firme de Modène va multiplier les modèles au gré des marchés et selon les demandes d’outre-Atlantique. C’est ainsi que naîtra la Maserati Mexico, profitant du hasard d’une réparation pour devenir un modèle à part entière.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 15/10/2019
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Vidéo Citroën SM : la GT chevronnée
La Citroën SM est une voiture dont les français sont fiers malgré son relatif échec commercial (avec seulement 6 ans d’existence et 12 920 exemplaires produits). Sa ligne à couper le souffle signée Robert Opron, sa suspension hydraulique, son moteur V6 Maserati dû au sorcier Giorgio Alfieri, tout était réuni pour que nous l’aimions. Si Citroën n’avait pas subi en même temps la fermeture du marché américain (à cause de normes nouvelles obligeant à repenser la suspension du vaisseau amiral français), les énormes pertes financières de l’aventure du moteur à piston rotatif (avec la Comotor, la M35 et la GS Birotor), la volonté de Michelin de lâcher l’affaire et pour couronner le tout une crise pétrolière en 1973, sans doute l’avenir de la SM aurait pu être différent.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 18/03/2019
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Maserati Quattroporte GTS GranLusso : les watts et la ouate
La Quattroporte est une institution dans la gamme Maserati. A chaque époque sa 4 portes, et même si aujourd’hui la gamme s’est considérablement élargie, avec une Ghibli plus petite (j’y reviendrai) et un gros Levante (j’y reviendrai aussi), pouvoir conduire le vaisseau amiral de la marque au trident donne l’impression d’être d’une part un privilégié, et d’autre part de faire partie de l’histoire. Aussi, c’est avec un plaisir non dissimulé que je me suis rendu en Italie essayer une légende dans sa version la plus récente, mais aussi la plus puissante, la Quattroporte GTS GranLusso.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/03/2018
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Touring Sciàdipersia : une Maserati pour amateurs avertis (et fortunés)
Qu’il est loin le temps des châssis séparés et des heures de gloires des carrossiers d’avant guerre. La modernisation de l’industrie automobile a fait disparaître un à un ces artistes de la tôle, et après-guerre, seule une partie d’entre eux réussira à survivre tant bien que mal en travaillant avec les officines de sport (Maserati, Ferrari), s’orientant vers le design et la production en petite série. Aujourd’hui, même les plus grands ont disparu, ou sont passés sous la coupe de grands groupes (Pininfarina appartient désormais à Mahindra & Mahindra). Pourtant, il existe encore un petit « carrossier » qui résiste encore à Milan, Touring Superleggera. Recréée en 2006, la société s’est paradoxalement spécialisée dans ce qui était le cœur de métier des carrossiers d’antan : la réalisation en petite série de versions spécifiques de modèles existant. Et ça marche. Cette semaine à Genève, Touring présentait sa nouvelle œuvre, la Sciàdipersia.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/03/2018
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Maserati Quattroporte V : le renouveau du trident
Depuis 1963, Maserati a toujours maintenu sa présence sur le marché des grandes berlines à tendance sportive, avec plus ou moins de réussite selon les générations. Et pour bien marquer leur différences avec les autres Maserati, la marques au trident n’est pas aller chercher loin en les appelant Quattroporte, tout simplement (je ne vous fais pas l’affront de traduire). En 2003, Maserati devenue totalement la propriété de Fiat, et sous l’égide de Ferrari, nous pondait un chef d’oeuvre pour 5ème génération, continuant l’oeuvre de rupture d’avec l’ère Biturbo initiée par la 3200 GT, et faisant subtilement appel au meilleur du passé des Quattroporte sans tomber dans le néo-rétro. Chapeau.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/03/2018
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Maserati Quattroporte III : pour en finir avec Citroën
Il y a des voitures comme ça, dont on arrive jamais vraiment à déterminer si on les aime ou pas, si on les trouve belles ou pas, si on en a envie ou pas. La Maserati Quattroporte III en fait partie. Sa longévité dans la gamme Maserati l’a aussi rendue un peu ringarde par rapport à la production contemporaine : en 1990, sa dernière année de commercialisation, elle paraissait vraiment son âge. Avec le temps, et la mode des voitures des années 70 et 80, sa ligne revient à la mode, malgré un côté cachalot échoué sur la route. L’oeil se réhabitue, à force de voir de drôles de trucs rouler. Le paquebot so 70’s déjà un peu démodé au début des années 80 prend alors tout son charme, et me voilà presque désireux d’en avoir une dans mon garage.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 30/09/2017
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BMW E9 CS : de la 2800 à la CSL, le Grand Tourisme à la sauce bavaroise
A l’heure où sort la nouvelle BMW M5 F90, difficile d’imaginer qu’à la fin des années 50, la marque à l’hélice avait failli y passer définitivement, sauvée par un actionnaire au nez creux, Quandt, et par un modèle emblématique et réussi, connu sous le nom de Neue Klass (lire aussi : BMW 1500 Neue Klass). Les années 60 vont voir BMW consolider ses positions, faisant évoluer sa berline vers de plus grosses motorisations (2000 E121) et de nouvelles carrosseries (2000 Coupé E120, fabriqué chez Karmann). A la fin des années 70, BMW peut enfin élargir son horizon, et s’offre une grande berline (l’E3, ancêtre de la série 5) et un grand coupé qui nous intéresse aujourd’hui : l’E9 (ancêtre de la série 6) !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 27/08/2017
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Panoz Roadster : "les feux de l'Auto"
A la télévision, les sagas familiales sont monnaie courantes, dépassant parfois les 40 ans de diffusion ininterrompue. Il en va de même avec la Panoz Roadster, parente illégitime des monstrueuses Panoz à moteur avant qui ont écumé les courses dans les années 90.
CARJAGER - 13/12/2016
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Iso Rivolta Lele : ligne ritale et big blocks yankees
Dans la vie, il n’y a pas que les GTI et autres bombinettes des années 80 : il y a aussi les gros coupés produits dans les années 70 en petite série, en Angleterre (Bristol, lire aussi : Bristol Blenheim), en Allemagne (lire aussi : Bitter CD) mais aussi en Italie avec l’Iso Rivolta Lele dont je vais vous parler aujourd’hui.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/11/2016
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Ligier JS2: l'hommage à Jo
Bon, après avoir évoqué la belle petite Matra 530 (lire aussi : Matra 530), la logique voulait que je m’attaque à une autre petite marque automobile, Ligier. On a tous en mémoire l’écurie de Formule 1 de notre enfance, ou les voiturettes sans permis d’aujourd’hui, mais moins en tête les débuts comme constructeur automobile « de série », avec une « belle » (c’est selon les goûts) GT à mécanique Maserati, la fameuse JS2 !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/11/2016
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Le jour où Agnelli et Fiat faillirent racheter Citroën
Avec des « si » on pourrait mettre Paris en bouteille… Mais moi qui aime l’uchronie, j’avoue qu’il m’est arrivé de me demander ce qu’il serait advenu si Fiat avait effectivement pris le contrôle de Citroën en 1973. Car si chacun se souvient de la faillite de 1974 et de la prise de contrôle de la firme aux chevrons en 1975 par Peugeot, peu de gens se souviennent que Citroën fut à deux doigts de passer sous pavillon italien, après 5 ans de collaboration technique (projet Y notamment, premier projet d’une compacte Citroën positionnée sous l’Ami8 et qui indirectement donnera naissance aux Visa et Oltcit/Axel) et d’accords financiers. Une petite histoire comme Boîtier Rouge les aime pour se détendre en ce début de semaine.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/09/2016
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Campogalliano : la démesure selon Bugatti !
Le 15 septembre 1990, la flamboyante usine Bugatti était inaugurée avec faste, laissant croire à un futur radieux pour la marque devenue italienne, mais qui avait tenu à maintenir le lien avec « l’héritage » français en organisant la parade d’anciennes Bug’ et d’un flambeau (à la manière des jeux olympiques) de Molsheim, en Alsace, à Campogalliano, près de Modène. Le nom de Bugatti revenait enfin en terre italienne, 88 ans après qu’Ettore ait quitté sa mère patrie pour s’installer en France. Juste retour des choses pour les Italiens, hérésie pour les Français (lire aussi: La vraie nationalité de Bugatti).
18/05/2016
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Daihatsu Charade De Tomaso : curiosité italo-japonaise !
Les hasards de la vie, les difficultés économiques, la fin d’un partenariat ou tout simplement les opportunités donnent parfois naissance, en matière d’automobile, à de drôles de petites voitures parfois méconnues. En parlant de l’Innocenti Nueva Mini, j’avais évoqué bien entendu l’Innocenti Turbo de Tomaso, mais aussi de curieuses Daihatsu siglées du nom du fameux pilote et chef d’entreprise argentin. L’heure est venu aujourd’hui d’en parler plus en détail.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/12/2015
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Alfa Romeo Montreal: l'autoroutière ritale !
Lorsqu’en 1982, ma Grand Mère quitta la rue Joyeuse pour la rue du Puits Noir, à Bourges, les nombreux petits enfants étaient aux anges : l’un des deux greniers de la nouvelle maison, aux pieds de la majestueuse Cathédrale Saint Etienne, fut dévolu à nos jeux d’enfants. Une sorte de dortoir, dans lequel tous les jeux trouvés par-ci par-là furent rassemblés. Au milieu de ce bric à brac, une miniature au 1/24ème, défoncée et à la peinture défaillante, trônait : une Alfa Romeo Montreal.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 05/07/2015
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Osca 1600 GT: l'italienne haute couture !
Je ne vais pas vous sortir l’éternel couplet de « La Bohème » chantée par notre Aznavour national, mais c’est pas l’envie qui m’en manque ! Car je vais vous parler d’un temps où un seul modèle de voiture, produit à moins de 150 exemplaires, pouvait recevoir 6 carrosseries différentes, dues à 5 carrossiers-designers différents, le tout en moins de 4 ans de production. Un temps où la haute couture automobile voulait encore dire quelque chose, un temps où les aventures automobiles les plus improbables pouvaient vivre et mourir, accouchant de chefs d’oeuvre valant aujourd’hui largement plus que ce que votre portefeuille le permet.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 25/06/2015
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Naza 206 Bestari : la soeur malaise de la Peugeot 206 !
Aujourd’hui, il est difficile de sortir du lot avec une Peugeot 206 sur les routes françaises. Elles sont encore très nombreuses, et même ses versions sportives ou CC sont relativement courantes (lire aussi : Peugeot 206 CC). Aussi, pour vraiment sortir du lot, il faut arriver à se dégotter une version SD tricorps produite en Iran. Mais le chic du chic, pour rouler décalé, c’est d’arriver à dénicher une Naza 206 Bestari.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 04/11/2014
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Les drôles de Lamborghini LM002 de Salvatore Diomante !
Des années 60 aux années 90, l’Italie a regorgé de petits artisans, carrossiers ou designers, ce qui confère toute sa singularité à l’automobile italienne malgré la tentaculaire expansion de la Fiat. Salvatore Diomante fait partie de ceux qui oeuvrèrent au développement du patrimoine automobile italien.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 31/10/2014
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Facellia Automobiles : En attendant Facel Vega ?
Vu le nombre d’articles déjà présents sur Boîtier Rouge concernant les marques automobiles qui ont tenté de porter haut les couleurs du luxe ou du sport à la française (Facel Vega, Monica, Venturi, De La Chapelle, Veyrat, Hommell…), vous vous doutez bien que je suis très intéressé à l’idée que l’une d’entre elles puisse se relancer.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 27/10/2014
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Mais où va donc Lancia ?
Depuis mai, on savait que Lancia serait l’oubliée du plan de relance du groupe Fiat Chrysler Automobiles (FCA), aussi je n’ai pas pu m’empêcher d’aller poser quelques questions sur le stand de la marque italienne au Mondial de l’Auto. A voir le stand, caché dans un coin, entre Abarth et Jeep, avec tout au plus 3 Ypsilon sans aucun autre modèle de la marque, j’avais déjà quelques réponses.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/10/2014
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