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Maserati Mistral : les charmes ambigus de l'obsolescence
« La Mistral se singularise par une ligne de caisse inhabituellement basse, autorisant des vitrages particulièrement généreux »
Nicolas Fourny - 22/10/2024
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Maserati Ghibli : il n'y a pas que la Daytona dans la vie !
« Grâce à l’importance du couple disponible, la Ghibli se plie sans sourciller à tous les styles de conduite, du plus paisible au plus impétueux »
Nicolas Fourny - 26/03/2024
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Maserati Quattroporte II : en avant toute (mais pas longtemps)
« La Quattroporte II apparaît tout à la fois comme l’une des Maserati les plus énigmatiques et comme l’une des Citroën les plus secrètes »
Nicolas Fourny - 20/09/2023
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Maserati Khamsin : la malédiction Citroën !
Il y a une Maserati rare et peu connue, même par les spécialistes, qui commence aujourd’hui à revenir en grâce, à la faveur de la flambée spéculative sur les véhicules de collection : il s’agit de la Khamsin. Et oui, encore un vent chaud comme à l’accoutumée chez Maserati avant l’apparition de la Biturbo, celui-ci venant d’Egypte.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/09/2022
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Maserati Quattroporte II : la scoumoune française du haut de gamme
A l’occasion d’un événement organisé par Pirelli, j’ai pu faire une petite balade en Champagne à bord, notamment, d’une Maserati Ghibli S Q4. Car si certains constructeurs de voiture de sport sont venus assez tard aux berlines 4 portes (Porsche Panamera, Aston Martin Rapide), le constructeur au trident, lui, produit des berlines depuis 1963. Et si la Ghibli III usurpe un peu son nom (les Ghibli I et II étaient des coupés), elle reste dans la tradition de la maison modénaise ! Bref, au volant de mon italienne, je me disais qu’il me serait difficile d’en faire un vrai compte rendu, ne l’ayant conduit qu’une petite heure… Mais en voyant défiler la campagne française, elle me fit penser à une autre Maserati, bien plus rare, avec 4 portes elle aussi, et aux accents particulièrement français justement : la Quattroporte II.
Paul Clément-Collin - 01/08/2022
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Maserati Bora : l’ancêtre de la MC20 !
Quelle est l’architecture idéale pour une automobile de grand tourisme ? Voilà une question à laquelle, depuis l’après-guerre, des réponses très fluctuantes — et parfois contradictoires — ont été apportées par des firmes aussi différentes que Porsche, Lancia, BMW, Ferrari ou Chevrolet. En particulier à partir de 1966, année de l’apparition de la Lamborghini Miura, les constructeurs italiens se retrouvèrent en face d’un dilemme : fallait-il suivre l’exemple de Sant’Agata Bolognese ou celui de Ferrari, qui devait rester cramponnée au V12 implanté à l’avant pour ses berlinettes sommitales jusqu’au début des années 1970 ? Avec la Ghibli, Maserati sembla emprunter le même chemin que le Cavallino Rampante mais pourtant, dans le secret de son bureau d’études, le Trident n’allait pas tarder à préparer un virage à 180 degrés…
Nicolas Fourny - 28/07/2022
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Maserati Mexico : à la conquête du Nouveau Monde
En ce début des années 60, Maserati bénéficie d’un certain prestige malgré le départ de frères fondateurs à la fin des années 40. Elle reste cependant une petite officine soutenue au forceps par la famille Orsi. C’est pourtant à cette époque que la firme de Modène va multiplier les modèles au gré des marchés et selon les demandes d’outre-Atlantique. C’est ainsi que naîtra la Maserati Mexico, profitant du hasard d’une réparation pour devenir un modèle à part entière.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 15/10/2019
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Vidéo Citroën SM : la GT chevronnée
La Citroën SM est une voiture dont les français sont fiers malgré son relatif échec commercial (avec seulement 6 ans d’existence et 12 920 exemplaires produits). Sa ligne à couper le souffle signée Robert Opron, sa suspension hydraulique, son moteur V6 Maserati dû au sorcier Giorgio Alfieri, tout était réuni pour que nous l’aimions. Si Citroën n’avait pas subi en même temps la fermeture du marché américain (à cause de normes nouvelles obligeant à repenser la suspension du vaisseau amiral français), les énormes pertes financières de l’aventure du moteur à piston rotatif (avec la Comotor, la M35 et la GS Birotor), la volonté de Michelin de lâcher l’affaire et pour couronner le tout une crise pétrolière en 1973, sans doute l’avenir de la SM aurait pu être différent.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 18/03/2019
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Maserati Quattroporte III : pour en finir avec Citroën
Il y a des voitures comme ça, dont on arrive jamais vraiment à déterminer si on les aime ou pas, si on les trouve belles ou pas, si on en a envie ou pas. La Maserati Quattroporte III en fait partie. Sa longévité dans la gamme Maserati l’a aussi rendue un peu ringarde par rapport à la production contemporaine : en 1990, sa dernière année de commercialisation, elle paraissait vraiment son âge. Avec le temps, et la mode des voitures des années 70 et 80, sa ligne revient à la mode, malgré un côté cachalot échoué sur la route. L’oeil se réhabitue, à force de voir de drôles de trucs rouler. Le paquebot so 70’s déjà un peu démodé au début des années 80 prend alors tout son charme, et me voilà presque désireux d’en avoir une dans mon garage.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 30/09/2017
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BMW E9 CS : de la 2800 à la CSL, le Grand Tourisme à la sauce bavaroise
A l’heure où sort la nouvelle BMW M5 F90, difficile d’imaginer qu’à la fin des années 50, la marque à l’hélice avait failli y passer définitivement, sauvée par un actionnaire au nez creux, Quandt, et par un modèle emblématique et réussi, connu sous le nom de Neue Klass (lire aussi : BMW 1500 Neue Klass). Les années 60 vont voir BMW consolider ses positions, faisant évoluer sa berline vers de plus grosses motorisations (2000 E121) et de nouvelles carrosseries (2000 Coupé E120, fabriqué chez Karmann). A la fin des années 70, BMW peut enfin élargir son horizon, et s’offre une grande berline (l’E3, ancêtre de la série 5) et un grand coupé qui nous intéresse aujourd’hui : l’E9 (ancêtre de la série 6) !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 27/08/2017
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Iso Rivolta Lele : ligne ritale et big blocks yankees
Dans la vie, il n’y a pas que les GTI et autres bombinettes des années 80 : il y a aussi les gros coupés produits dans les années 70 en petite série, en Angleterre (Bristol, lire aussi : Bristol Blenheim), en Allemagne (lire aussi : Bitter CD) mais aussi en Italie avec l’Iso Rivolta Lele dont je vais vous parler aujourd’hui.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/11/2016
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Ligier JS2: l'hommage à Jo
Bon, après avoir évoqué la belle petite Matra 530 (lire aussi : Matra 530), la logique voulait que je m’attaque à une autre petite marque automobile, Ligier. On a tous en mémoire l’écurie de Formule 1 de notre enfance, ou les voiturettes sans permis d’aujourd’hui, mais moins en tête les débuts comme constructeur automobile « de série », avec une « belle » (c’est selon les goûts) GT à mécanique Maserati, la fameuse JS2 !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/11/2016
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Le jour où Agnelli et Fiat faillirent racheter Citroën
Avec des « si » on pourrait mettre Paris en bouteille… Mais moi qui aime l’uchronie, j’avoue qu’il m’est arrivé de me demander ce qu’il serait advenu si Fiat avait effectivement pris le contrôle de Citroën en 1973. Car si chacun se souvient de la faillite de 1974 et de la prise de contrôle de la firme aux chevrons en 1975 par Peugeot, peu de gens se souviennent que Citroën fut à deux doigts de passer sous pavillon italien, après 5 ans de collaboration technique (projet Y notamment, premier projet d’une compacte Citroën positionnée sous l’Ami8 et qui indirectement donnera naissance aux Visa et Oltcit/Axel) et d’accords financiers. Une petite histoire comme Boîtier Rouge les aime pour se détendre en ce début de semaine.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/09/2016
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Osca 1600 GT: l'italienne haute couture !
Je ne vais pas vous sortir l’éternel couplet de « La Bohème » chantée par notre Aznavour national, mais c’est pas l’envie qui m’en manque ! Car je vais vous parler d’un temps où un seul modèle de voiture, produit à moins de 150 exemplaires, pouvait recevoir 6 carrosseries différentes, dues à 5 carrossiers-designers différents, le tout en moins de 4 ans de production. Un temps où la haute couture automobile voulait encore dire quelque chose, un temps où les aventures automobiles les plus improbables pouvaient vivre et mourir, accouchant de chefs d’oeuvre valant aujourd’hui largement plus que ce que votre portefeuille le permet.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 25/06/2015
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Bimota : la quintessence de la moto artisanale italienne
Allez savoir pourquoi l’Italie a pris cette place si particulière dans l’industrie automobile mondiale. Ferrari, Maserati, Pagani, Lamborghini, Pininfarina, Alfa Roméo et j’en passe ? Plus étonnant, cette place particulière, l’Italie l’a aussi dans le monde de la moto, avec Ducati, Cagiva, Agusta, Piaggio et bien sûr Bimota. On apprend aujourd’hui la mort de Massimo Tamburini, après une lutte contre le cancer, et c’est le monde de la moto qui est en deuil. C’est l’occasion pour moi de vous présenter brièvement la marque qu’il avait créé dans les années 60, Bimota.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 08/04/2014
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Erich Bitter : Ein Bitter Bitte
A une certaine époque, on avait un certain choix automobile quand on avait de l’argent. Outre les constructeurs que nous connaissons encore aujourd’hui (Rolls, Bentley, Jaguar, Maserati, Porsche, Lamborghini pour ne citer qu’eux), on pouvait jouer l’original et rouler en Bristol pour le raffinement, en de Tomaso pour la force brute, en Monica (pour la rareté), en Monteverdi (pourquoi pas rouler suisse?) ou en Jensen pour l’innovation technologique. Et encore je raccourci volontairement la liste.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 11/03/2014
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