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Innocenti Mini (ADO15/ADO20) : une Anglaise chez les Ritals
Rouler en Mini est à la mode, et cela ne date pas d’hier. Je ne vous parle pas des “nouvelles” Mini façon BMW, mais des Mini tout court, fabriquées jusqu’en 2000 sous les marques Austin, Morris ou Rover. Si céder aux charmes de cette adorable Anglaise me tente régulièrement, difficile, pour mon esprit tordu, de me contenter d’une classique version originale. En effet, si les reprises musicales sont rarement meilleures, il arrive qu’une pépite fasse son apparition. En automobile c’est pareil : si vous désirez une Mini des années 60/70 à la finition presque parfaite, tournez votre regard vers l’Italie et prenez l’option Innocenti. Certes, pour l’originalité, certains — encore plus spéciaux que moi — n’hésiteront pas à fouiner en Espagne, à la recherche d’une rare Mini signée Authi. Pour ma part, j’opterai donc pour une autre cousine, transalpine plutôt que transpyrénéenne, l’Innocenti Mini.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/11/2020
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Daihatsu Charade De Tomaso : curiosité italo-japonaise !
Les hasards de la vie, les difficultés économiques, la fin d’un partenariat ou tout simplement les opportunités donnent parfois naissance, en matière d’automobile, à de drôles de petites voitures parfois méconnues. En parlant de l’Innocenti Nueva Mini, j’avais évoqué bien entendu l’Innocenti Turbo de Tomaso, mais aussi de curieuses Daihatsu siglées du nom du fameux pilote et chef d’entreprise argentin. L’heure est venu aujourd’hui d’en parler plus en détail.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/12/2015
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Innocenti Nuova Mini : une mini anglo-italo-japonaise
Puisqu’on est dans les petites italiennes, et après avoir traité de l’Autobianchi A112 Abarth, parlons un peu de sa concurrente, ou presque, l’Innocenti Mini. Si l’Autobianchi est une pure italienne, avec des racines « Fiat de chez Fiat », l’Innocenti est une bâtarde. N’y voyez pas le mal, c’est juste la vérité. Car si sous cette forme carrée la Nuova Mini présentée fin 1974 nous paraît italienne, elle ne l’est pourtant pas tant que cela.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 30/09/2014
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De Tomaso Guara : la fin d'une époque
Nous sommes en 1992… La Pantera 2, version restylée (de façon grotesque diront certains, lire aussi: De Tomaso Pantera) de la mythique de Tomaso Pantera, ne s’est vendue qu’à 39 exemplaires, au lieu des 250 attendus. Il faut bien se faire une raison, et chez de Tomaso, on planche à la relance de la marque. La firme est alors au plus mal. Alejandro de Tomaso, le fantasque argentin, a déjà revendu les bijoux de famille : Innocenti et Maserati. Malgré tout, il reste étroitement lié à Maserati grâce à ses liens d’amitiés avec Giordano Casarini qui en est le directeur technique.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/08/2014
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Qvale Mangusta : celle qui aurait du s'appeler de Tomaso !
Au début des années 90, le flamboyant argentin Alejandro de Tomaso n’est plus le trublion de l’industrie automobile italienne qu’il avait été. Les difficultés financières l’ont obligé à revendre à Fiat ses marques phares, Maserati et Innocenti (lire aussi: Innocenti Nuova Mini), après s’être déjà débarassé de Moto Guzzi. Du petit groupe automobile qu’il avait construit, il ne reste plus que la marque éponyme de Tomaso, qui ne produit plus qu’au compte goutte une Pantera remise au goût du jour, mais dépassée depuis longtemps par la concurrence (lire aussi: De Tomaso Pantera SI).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/08/2014
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